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Voilà donc la suite ! Bonne lecture !^^
Pirates Of The Caribbean
Dead men tell no tales,
Pirates des Caraïbes, les Morts ne racontent pas d'histoires...
Dead men tell no tales,
Pirates des Caraïbes, les Morts ne racontent pas d'histoires...
Chapitre 4 – Une bataille mouvementée
Jack restait sur le pont, tandis que tous les matelots, Gibbs y compris s'activaient pour préparer les canons, charger les armes et préparez les grappins. Elizabeth, elle, était restée à côté de Jack, regardant le pirate qui fixait avec sa longue-vue le navire qui se rapprochait petit à petit. Elizabeth prit sa respiration et lui demanda :
- Jack ?
- Ouaip ?
Le pirate abaissa sa longue-vue et regarda de ses yeux sombres ceux de sa camarade.
- Qu'y a t il ?
- Je voulais juste savoir... Vous ne m'aviez pas expliqué comment vous vouliez retrouvez Will.
- Comment retrouver William ? Ne le savez-vous donc pas ?
- Je crois le deviner, mais je n'en suis pas sûr, aussi j'aimerais bien que vous me confirmiez ce que je pense.
Jack sortit d'une de se poche son campas et le montra à Elizabeth :
- Etait-ce ce que vous pensiez ?
- Oui...
- Alors, pas besoin de s'affoler !
- Oui, mais quand mêm...
BOUM !!!
Le bois vola tout autour de Jack et Elizabeth, pulvérisé par les boulets de canons que leur tirait le navire de la Compagnie des Indes Orientales. Aussitôt, tout le monde redoubla d'effort. Gibbs hurla en direction de Jack :
- Nous sommes à leur portée !
- Ce qui veut dire... ? demanda Jack malicieusement.
- Ce qui veut dire... ? Ben... euh... J'en sais rien, moi, capitaine !
- Cela veut dire que nous pouvons également leur tirer dessus avec nos canons ! résonna Elizabeth, comprenant soudain ce que Jack avait mis si longtemps à garder secret.
Les yeux de Gibbs s'écarquillèrent :
- Mais c'est vrai ça ! s'exclama-t-il.
Il se tourna vers les matelots et cria :
- Placez les boulets dans les canons et au signal, tirez !
Tous s'activèrent en faisant un grand bruit, et bientôt tous furent prêts à faire feu, qu'ils soient sur le pont du bateau ou dans les cales. Pendant ce temps, le navire ennemi continuait de faire feu sur eux et Jack avait été obligé de reprendre la barre, s'il voulait qu'il rets encore quelque chose du bâtiment à la fin du combat. Petit à petit, les navires se mirent parallèles et soudain, Jack hurla :
- Feu !
Toutes les batteries crachèrent alors leurs contenus dans un boucan d'enfer et Jack vit avec un petit sourire en coin que presque aucun boulet n'avait raté le bateau adverse et qu'il y avait eu beaucoup de bois qui vola dans les coins où se situaient les cales.
- Rechargez ! continua à crier Gibbs.
- Et préparez-vous à l'abordage ! finit Jack.
Après un nouveau cri de la part du Capitaine, le bateau fit à nouveau feu, et sitôt le dernier projectile partit, Jack fit tourner la barre à pleine puissance à tribord, fonçant droit sur leurs ennemis. Tous les matelots de l'Invulnérable saisirent leurs grappins, leurs pistolets, fusils et épées et se préparèrent à l'abordage.
Les deux navires se rapprochaient de plus en plus prêt, petit à petit. Il ne resta bientôt plus que trente mètres.
Vingt-cinq.
Vingt.
Quinze.
Dix.
Cinq.
Dans un monumental crash, les deux rebords des navires se fracassèrent l'un à l'autre, sans faire beaucoup de dégâts au bois. Dans un hurlement, tous les hommes ennemis se jetèrent sur l'Invulnérable et tous les matelots du navire firent feu sur eux avec leurs fusils et pistolets, en tuant une petite vingtaine. Mais d'autres ennemis arrivèrent quand même à monter sur leur navire et le combat s'engagea. Jack sauta de son point de commandement et atterrit devant deux soldats. Il enfonça sa lame dans le ventre du premier et coupa le cou du deuxième qui s'effondra d'un coup, tout de suite mort. Le pirate vit qu'Elizabeth faisait aussi un carnage, juste à côté de Gibbs qui tenait une épée et un pistolet. Joshamme appréciait beaucoup de combattre avec ses deux armes, car s'il n'avait plus d'ennemis à la portée de son épée,il pouvait toujours utiliser son arme à feu.
Bien vite, le nombre de combattants commença à réduire et Jack sourit en constatant que ses hommes étaient encore au nombre d'une septantaine, alors que ceux de l'autre navire ne se comptaient plus que par une petite dizaine. Soudain, un immense homme sauta devant Jack qui se coucha immédiatement au sol. Ce geste lui sauva certainement la vie, l'énorme épée du géant passant à un cheveux de son tricorne. Jack se redressa et engagea un furieux duel avec lui. .
L'adversaire se rendit bien vite compte que son adversaire était un combattant émérite, autant fort que lui, même plus. Les épées s'entrechoquaient bruyamment. Les deux combattants usaient tous deux de leurs plus grands savoirs et lorsque Gibbs, Elizabeth et les matelots finirent leurs combats et qu'il ne restait plus que les deux combattants, ce fut presque plus une danse qu'on combat qui s'effectuait sous leurs yeux. Les deux ennemis se heurtaient de leurs lames et à chaque fois ils se dégageaient violement, devant faire quelques pas en arrière, leurs coups étant trop puissants pour rester toujours au même endroit.
Jack tournait sur lui, faisant parfois de petits moulinets avec son épée, mais jamais le capitaine du navire adverse – car c'était bien lui - n'arrivait à prendre l'avantage sur lui. Le pirate, pensant que le combat devenait lassant, raffermit sa prise sur le manche de son arme et attaqua encore plus puissamment, fourrant de puissants coups à gauches comme à droite. L'ennemi para les premiers coups facilement, mais commença peu à peu à fatiguer et à reculer de quelques pas. Jack en profita et avança, continuant ses dangereux coups d'épées. Elizabeth vit de la sueur sur le front de l'homme, mais il ne montrait pas le moindre signe de fatigue.
Enfin, alors que l'homme de la Compagnie des Indes Orientales faisait un autre pas en arrière, le pirate sauta vers lui et, d'un puissant coup d'estoc, transperça sa poitrine. Le capitaine regarda un instant la lame traversant son corps, puis Jack la retira d'un coup brusque, alors que son adversaire tombait au sol. Tous les matelots l'acclamèrent en criant, mais Jack ne sourit pas, trop préoccupé par autre chose :
- Monsieur Gibbs !
- Oui, Capitaine ?
- Prenez une équipe d'une dizaine d'homme avec vous. Fouillez entièrement le navire. Si vous trouvez des hommes, emmenez-les ici. Et par la même occasion, regardez s'il n'y a pas du rhum !
Les yeux de Gibbs étincelèrent :
- Oh, oui, Capitaine ! A vos ordres !